Parce que je crois qu’on a toujours besoin de Chance!

Hello tout le monde!

De tous les temps depuis que j’ai 8 ans je crois que j’aime l’univers et la marque Chanel. J’avais fait un post il y a fort fort longtemps – 2014 lol- sur l’histoire du parfum N°5 ici

C’est suite à cet article que la marque m’avait contacté et par la suite j’ai eu la fabuleuse chance de célébrer le tout premier anniversaire de mon blog ici et ici … un rêve que j’ai mis du temps à réaliser.

Pourquoi je vous raconte cela ici, et maintenant? tout simplement pour partager avec ce que je constate : on a pas besoin d’une raison pour faire les choses, il peut nous arriver des choses extra ordinaires même si on ne connait pas du monde et que ce n’était pas prévu 🙂 En écrivant ce premier article sur l’histoire du parfum N°5, je n’attendais absolument rien en retour, je ne connaissais personne, je venais de lancer mon blog quelques mois auparavant, je l’avais fait par pure plaisir car si je remplissais un journal intime car évidemment, ne connaissant personne et en démarrant, je me doutais qu’il n’y avait pas grand monde qui le lirait ;p

Le jour où L’attachée de presse m’a appelée pour me dire qu’elle avait adore mon article – le truc iréel- je m’en rappellerai toute ma vie : j’étais au ski ( il faut savoir que c’est vraiment pas mon truc j’y allais pour Liam) et j’avais un abces dentaire qui me faisait un mal de chien horrible. Lorsque j’ai compris qui était la personne au bout du téléphone j’ai été choquée, je n’en revenais pas. La douleur avait presque disparu ( on me l’a quand même arrachée en rentrant oupss).

Mais cet appel qui sortait de nulle part à ce moment où j’étais vraiment pas bien, je venais de quitter un enième job avec perte et fracas ( d’où la crise d’abcès – la colère ndrl) je l’ai pris comme le signe que j’avais bien fait de quitter ce job, que tout irait mieux même si je n’avais aucune idée de ce que j’allais faire de ma vie , et oui n’oublions pas que j’ai été certes un peu en avance dans ce domaine, mais bien perdue avant l’heure!

Pourquoi je vous parle de ça maintenant? car je n’oublie pas d’où je viens, les difficultes que j’ai enduré avant d’en arriver là, et en parlant souvent avec vous je sais que nous sommes nombreuses à passer par là.

Cette histoire c’est juste la confirmation que vous n’êtes pas obligé de faire quelque chose avec un but, faites juste les choses qui vous font plaisir, même sans raison, écoutez vous, faites vous plaisir c’est déjà énorme, la suite, l’univers s’en chargera 😉 et l’univers a bien plus d’imagination que nous. A force de vouloir, de toujours chercher à comprendre ou à vouloir à tout prix tout contrôler, on ne laisse pas la chance à la chance 😉 on limite le champs des possibles et c’est dommage car la vie est vraiment plus sympa quand le champs est illimité, tout devient possible!

Oui je suis un peu superstitieuse, je crois aux signes, je les interprete à ma façon, je me suis crée mes propres croyances, car si c’est votre jeu, ce sont vos régles!

Vous allez surement me prendre pour une dingue, mais à chaque fois que j’ai un rdv un peu important, je mets quelques pschitt de Chance, car je me dis qu’on a jamais trop de chance 😉 et peut être que c’est parce que j’y crois j’ai l’impression que ça marche!

Du coup quand j’ai commencé à faire les colliers magiques que certaines d’entre vous m’ont commande (encore 10000 mercis) je parfume la boite avec Chance , parce ce que je me dis que si ça marche sur moi, ça marchera peut être pour vous?

Est ce que ce post est sponsorisé? absolument pas! LOL est ce que les attachées de presse savent que j’allais parler de cela? Pas du tout. C’est juste une anecdote personnelle que j’avais envie de partager avec vous.

Peut être que votre truc sera avec autre chose, une autre marque… Quoi qu’il arrive faites ce que vous avez envie si vous le sentez, faites le pour vous avant tout, sans raison, sans attente d’aucun retour… le coeur a ses raisons, et l’univers les entend 😉

Voila je vous embrasse fort

et vous souhaite beaucoup de CHANCE!

love

Sophie

PS : sur la photo tous mes classiques préférés de Chanel, toujours simples et efficaces et élégants!

1 réflexion sur “Parce que je crois qu’on a toujours besoin de Chance!”

  1. Merci Sophie, via ton expérience professionnelle, de me rappeler qu’il faut laisser « la chance à la chance » en ne cherchant pas toujours à comprendre ou à vouloir à tout prix tout contrôler pour atteindre un but.
    Il faut que je laisse faire les choses, sans pour autant me décourager et être irraisonable, mais c’est dure. J’enrage de voir que certains atteignent mon but facilement en n’ayant pas pour objectif d’améliorer le monde et la justice, mais de penser à leur petit confort personnel. Puis, pour m’apaiser, je me dis que chacun a son parcours. Et, les épreuves a traverser pour l’un ne sont pas les mêmes pour l’autre. Tous cela me fais penser à l’histoire de l’Alchimiste de Paolo Coelho avec sa notion de chance du débutant et d’accomplissement de sa légende personnelle.
    Actuellement, plusieurs années se sont écoulées sans avoir atteint mon but professionnel. Et, même si j’ai le constat que je suis faite pour cet emploi, que je m’y épanoui, que les retours sont très souvent positifs, que je suis même plus compétente que certains qui sont titulaires, je perds en motivation parce que ma situation n’est pas idéale. Je ne peux pas me projeter dans le temps (je ne sais pas par exemple si je travaillerai dans un mois et où), je manque cruellement de stabilité et je n’ai toujours pas obtenu la certification pour me sentir légitime et surtout améliorer ma condition de vie. J’ai sacrifié beaucoup… Notamment ma vie personnelle. Je pensais que le travail payait toujours. Et sachant, en plus, qu’autour de moi certains n’arrivent pas à concevoir pourquoi je ne vise pas un poste avec plus de confort, de considérations sociales et statutaires et une meilleure paye… J’ai de quoi avoir à me remettre en question. Surtout lorsque je constate qu’une caissière ayant un CDI est mieux rémunérée que moi sans avoir pour autant un bac + 5.
    Et pourtant, j’y reste attachée à ce poste parce que je n’arrive pas à imaginer que mon truc sera ailleurs, parce que cet emploi a du sens pour moi. Je m’y épanoui à accompagner et aider de façon plus ou moins formelle des jeunes (surtout les plus réfractaires) à s’élever en stimulant leur curiosité et leur capacité de réflexion, en leur donnant le goût de la connaissance et une culture de l’information pour ne pas se faire manipuler. Mais est-ce que le jeu en vaut toujours la chandelle ? Est-ce que je ne suis pas en train de m’éteindre ? Est-ce que ce n’est pas de la folie de penser à « son besoin d’accomplissement de soi » sans penser au préalable à ses « besoins physiologiques » et ses « besoins de sécurité » (suivant la pyramide de Maslow).
    C’est dure de remettre en question autant d’investissements, de travail et de temps, avec en plus des signes encourageant qui m’avaient montrés que j’étais là où je devais être. Peut-être que, malgré mon courage longtemps éprouvé, j’ai peur de renoncer en pensant que je suis près du but.
    Mais où est la juste mesure entre travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? J’en suis là à me questionner.

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